Comme un pont entre les époques, une passerelle relie la chapelle restaurée de cet ancien doyenné clunisien et l’extension contemporaine reconstituant l’habitation à l’abri du rempart médiéval. Limitant ses ancrages sur le sol archéologique et la courtine protégée au titre des monuments historiques, une simple structure d’acier supporte des bastions de bois, comme autant de cellules pour la vie domestiques, qui, de courtines en chemins de ronde, conduisent à la terrasse qui domine le site chèrement défendu par les valeureux de Bézornay.
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